Colleys, shelties, pour le respect du chien.
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Colleys, shelties, pour le respect du chien.

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 A l'échelle du temps.

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AuteurMessage
Suzanne




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MessageSujet: A l'échelle du temps.   A l'échelle du temps. Icon_minitimeDim 6 Fév 2011 - 8:30

Pour mieux conscientiser l'échelle du temps!:


ACTUALITES SCIENTIFIQUES: 01.07.10 - 08:44
Des formes de vie complexes, des organismes à plusieurs cellules dits "pluricellulaires", seraient apparues voici 2,1 milliards d'années, c'est-à-dire jusqu'à 1,5 milliard d'années plus tôt que scientifiquement attesté jusque là, selon une étude publiée mercredi.


L'ampleur de cette découverte lui vaut la couverture de la revue scientifique britannique Nature, même si, selon des experts, elle "pose plus de questions qu'elle n'apporte de réponses".

Les premières formes de vie apparues sur Terre voici environ 3,5 milliards d'années étaient unicellulaires, des êtres vivants constitués d'une seule cellule, comme les bactéries.

L'origine de la vie complexe multicellulaire, ce n'est plus voici "600 millions d'années, c'est plutôt 2,1 milliards d'années", le curseur "s'est déplacé de 1,5 milliard d'années", a déclaré à l'AFP Abderrazak El Albani (Université de Poitiers, France), principal auteur de l'étude.


Avec son équipe internationale, il a découvert au Gabon plus de 250 fossiles de 7 millimètres à 12 cm de longueur qui pourraient bouleverser l'histoire du vivant.


Des fossiles témoignaient déjà d'une explosion de formes de vie multicellulaires voici 600 millions d'années, mais leur apparition plus précoce restait controversée, selon le chercheur.

Jusqu'à la récente découverte, un fossile, Grypania spiralis, datant d'environ 1,6 milliard d'années marquait l'émergence d'une vie plus complexe.


Très difficiles à interpréter

Les premiers unicellulaires et les bactéries actuelles sont constitués d'une cellule sans noyau, c'est-à-dire sans membrane protégeant le matériel génétique : ce sont des "procaryotes".

Les formes de vie complexes, des insectes aux mammifères, sans oublier des unicellulaires comme les paramécies, ont des cellules dites "eucaryotes", avec des chromosomes abrités dans un noyau.

Avec les fossiles retrouvés sur le site de Franceville au Gabon, l'existence des eucaryotes aurait débuté voici 2,1 milliards d'années et non 1,6 milliard comme supposé avec Grypania.


Une forme particulière de souffre et des molécules de "stérane" retrouvées sur les fossiles attestent respectivement de leur origine biologique et eucaryote, selon les chercheurs.

De taille trop grande pour être les résidus de simples unicellulaires primitifs, les contours des fossiles évoquent, selon Abderrazak El Albani, les formes d'organismes vivant en suspension dans l'eau ou tout près du fond océanique.

"Interpréter réellement des anciens fossiles est une affaire particulièrement difficile", nuancent Philip Donoghue (Université de Bristol, Grande-Bretagne) et Jonathan Antcliffe dans un commentaire publié dans Nature, promettant des "futures discussions entre paléontologues".

"Ces fossiles de quelques centimètres, que les auteurs interprètent comme représentant des organismes multicellulaires", seraient apparus alors que "l'atmosphère restait un mélange toxique (...) avec une teneur en oxygène correspondant à quelques centièmes des niveaux actuels", relèvent les deux experts.

Sans mettre en doute la datation de ces specimens, ils notent que la définition d'une vie pluricellulaire "peut tout inclure, des colonies de bactéries aux blaireaux", des mammifères.

Au sein de colonies bactériennes, une forme de communication interne et de gestion organisée de la croissance du groupe a été constatée, comme en témoignent des stromatolites (structures) plus anciens que les fossiles trouvés au Gabon.

Les spécimens découverts ne peuvent provenir de simples bactéries, assure Abderrazak El Albani qui invite à préserver le site gabonais appelé à faire partie du "patrimoine mondial de l'humanité".

AFP
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L'homo sapiens
apparu il y aurait environ 200000 ans? en Afrique de l'Est.
dispersé hors d'Afrique, il y aurait environ 100000 ans? suite à des changements climatiques?

A l'échelle du temps. 145
A l'échelle du temps. 235

Société, Anthropologie, Arabie, Archéologie, Usa, Afrique
Source= RTBF.info.

et les 1° chiens?????

http://www.questmachine.org/article/Les_premiers_chiens

Les premiers fossiles des ancêtres des Carnivores, les Miacoïdes, remontent à 55.000.000 d'années.
C'est au milieu de l'ère tertiaire, il y a 25 à 30 millions d'années, à l'Oligocène, que l'on fait remonter l'origine des Canidés

avec Hesperocyon qui allait donner naissance en Amérique du Nord aux premiers membres de ce groupe. Depuis ce continent, les Canidés allaient se répandre dans l'Eurasie par l'ouest et notamment le détroit de Bering qui, à cette époque, n'était pas encore envahi par la mer. Quelques-uns allèrent en Amérique du Sud, mais y survécurent sous la forme de renards.

L'origine du chien datant de la préhistoire, on ne peut donc que reconstituer les processus qui ont permis aux hommes qui vivaient il y a environ vingt mille ans de "créer" les ancêtres de nos fidèles compagnons. Le chien est en effet l'un de ces animaux dits "domestiques" qui, sans l'homme, n'auraient jamais existé. Ils ont subi au cours des millénaires une évolution qui les a peu à peu rendus différents de l'espèce sauvage dont ils sont issus. En effet le loup est maintenant considéré comme le plus vraisemblable ancêtre du chien. Étrange ascendant pour le Saint-Bernard ou le Yorkshire-Terrier.

Dès que les hommes eurent l'idée de capturer de jeunes loups et de les élever en captivité sans jamais plus laisser retourner à l'état sauvage les produits qu'ils en obtenaient, ils pratiquèrent sans le savoir une "sélection" qui a agi de façon constante pendant des millénaires sur des populations numériquement faibles à l'origine et génétiquement séparées du peuplement sauvage. La domestication du loup a donc été le résultat de l'isolement de représentants sauvages de cette espèce, que l'homme a placés dans un environnement artificiel dont les facteurs étaient très différents de ceux qui régissaient habituellement la vie du loup dans son milieu d'origine. Dans celui-ci le nombre des individus était très grand (il y avait des loups partout), et les facteurs du milieu restaient constants. Au contraire, le nombre des individus élevés par l'homme étant très limité, leurs produits ont eu beaucoup plus de chances de posséder des caractères génétiques originaux et de donner prise à une "dérive génétique". Ce phénomène s'est accompagné de la perte d'un certain nombre de caractères héréditaires propres au loup, si bien que le nouveau stock génétique appauvri a alors subi, au cours des générations, une évolution d'autant plus divergente du stock initial que la « pression de sélection » était plus forte. Comme cela a été le cas pour toutes les espèces domestiques, la pression de sélection s'est exercée, non plus par la « sélection naturelle » qui agit sur les espèces sauvages, mais par l'intermédiaire de l'homme, qui choisit les reproducteurs dont il veut conserver les qualités.

Dès le début de la domestication, il est vraisemblable que des populations humaines ont tenté, en divers points du monde, de sélectionner des chiens : on constate en effet l'existence dès les temps les plus reculés de plusieurs races. Les éleveurs modernes ont bénéficié de cette sélection empirique qui s'est poursuivie au cours des temps sous l'influence conjuguée du milieu géographique et du climat dans lequel vivaient les premiers chiens, et surtout du milieu humain dans lequel ils étaient domestiqués. Ainsi, les chiens mal adaptés étant éliminés avant d'atteindre l'âge de se reproduire, il s'est créé peu à peu des races différentes : par exemple, d'abord des chiens de montagne grands et lourds, des chiens de steppe élancés, des chiens de forêt de petite taille ; chacune de ces «races» s'est elle-même diversifiée par la suite selon les qualités du pelage, le port des oreilles ou de la queue, les qualités olfactives ou auditives, etc.

La plupart des "races" de chiens que nous connaissons ont été fixées à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe. Mais les grands types (chiens de berger, chiens de chasse, chiens de garde, chiens d'agrément) étaient déjà connus des Égyptiens et certainement bien avant

A l'échelle du temps. 146


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A l'échelle du temps. Cervea11
L'homme de Neandertal avait un gros cerveau


Or l'homme de Neandertal, un cousin de l'homme moderne disparu il y a 30.000 ans pour des raisons encore obscures, était plus massif et avait un plus gros cerveau. L'homme de Cro-Magnon qui a peint les murs de la grotte de Lascaux il y a quelque 17.000 ans était l'Homo sapiens doté de la plus grosse cervelle. Il était aussi plus fort que ses descendants d'aujourd'hui.

Ces traits étaient nécessaires pour survivre dans un environnement hostile, relève David Geary, professeur de psychologie à l'Université du Missouri et auteur de travaux sur le développement du cerveau humain au cours des âges.

Partant de ce constat, ce chercheur a étudié l'évolution de la taille du crâne entre 1,9 million d'années et il y a 10.000 ans, au fur et à mesure que nos ancêtres et cousins ont vécu dans un environnement social plus complexe.

Il est parti du principe que plus la concentration humaine était importante, plus il y avait d'échanges entre les groupes, une plus grande division du travail et des interactions plus riches et variées entre individus.

Il a aussi constaté que la taille du cerveau diminuait quand la densité de population augmentait.

"En fait, avec l'émergence de sociétés plus complexes le cerveau humain est devenu plus petit parce que les individus n'ont pas besoin d'être aussi intelligents pour survivre, ils sont aidés par les autres", explique David Geary.




D'autres formes d'intelligence

Cette réduction du cerveau ne veut pas dire pour autant que les hommes modernes sont plus idiots que leurs ancêtres: ils ont développé d'autres formes d'intelligence plus sophistiquées, insiste pour sa part Brian Hare, professeur adjoint d'anthropologie à l'Université Duke (Caroline du nord).

Un parallèle similaire existe entre les animaux domestiqués et les animaux sauvages, note-t-il.

Ainsi les chiens-loups ont un cerveau plus petit que les loups mais sont plus intelligents et sophistiqués car ils comprennent les gestes de communication des hommes.

Cela montre qu'"il n'y a pas de corrélation étroite entre taille du cerveau et quotient intellectuel" qui se définit surtout selon lui par la capacité à induire et à créer, insiste Brian Hare, interrogé par l'AFP.

Il cite aussi l'exemple des chimpanzés, agressifs et dominateurs, qui sont dotés d'un plus gros cerveau que les bonobos pourtant beaucoup plus "civilisés" car utilisant la simulation de l'acte sexuel ou l'accouplement pour résoudre les conflits.

"Les humains sont à la fois chimpanzé et bonobo", nos plus proches cousins, dit le chercheur en espérant avec une pointe d'ironie que "le côté bonobo gagnera dans l'évolution pour le bien de tous".
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